Etranger sur la route.

Ils chevauchèrent en direction de Blancherive, monté sur des destriers emprunté au palefrenier de Rivebois.
S'ils tenaient un rythme correct, ils arriveraient à destination le lendemain.
Avel écoutait le chant des Merles et autre Pies, se laissant doucement bercer par leurs sifflement.
Il se rappela de cette anecdote qu'il avait lus à propos de l'invention des instruments de musique par Shéogorath, le Daedra de la folie, inspirée par le chants des Oiseaux.
Dans ses rêveries, il ne vit pas l'homme en haillons qui se tenait, frêle, sur la route. Nõzvel lui intima de calmer l'allure, ce qu'ils firent.
Arrivé au niveau de l'homme, le duo s'arrêta et Avel commença à bourrer Brass.

- Bonjour, braves chevalier.
- Bien le bonjour, mendiant, répondit le Nordique un peu sèchement.
- Ô, messires, auriez vous un septim ou deux pour un pauvre bougre tel que moi?

Avel regarda l'homme avec un certaine pitié pendant qu'il discutais avec son frère d'arme. Il inséra Brass au coin de sa bouche, l'alluma et tira. Ce faisant, il eu presque immédiatement une certitude plutôt menaçante ainsi que des informations précises.
Bien vus, Brass.
Il tendit sa pipe à Nõzvel dans un geste fraternel, et ce dernier la prit et la mit en bouche dans une série de mouvements très naturels et qui semblèrent normaux à l'homme en face d'eux.
Bien entendu, la voix posé d'Avel -cette voix qu'il utilisait lorsqu'il était concentré- fit son apparition dans le crâne de Nõzvel:

- Embuscade. Bandits de seconde zone. Surement les Chiens hurlants. Brass en à décompté trois ou quatre, en comptant celui devant nous, mais y'en a peut-être plus. Deux derrière, deux devant. Ils attendent surement qu'on pose le pied à terre. Deux solutions. On tue ou on se barre. Ma lame à faim.

Jarlot avait terminé son repas et était prêt à repartir, cette fois il avait acheté le strict minimum de vivre.
Il avait toujours le goût amer d'avoir laissé ces voleur en vie.

Son contact l'attendait entre Rivebois et Blancherive, il fouilla son sac pour voir si ils ne lui avaient pas voler la lettre mais elle était toujours là.
Il se mis donc en chemin tous en sortant un sandwich, mais avant de prend sa première bouchée un homme l’arrêta et le prévint de ne pas continuer dans cette direction, l'homme en question venait de se faire voler par des bandits sur la route en direction de Blancherive.
Jarlot répondit:

-Merci du conseil, et parti en prenant sa bouchée de la main gauche tous en saluant de la main droite .

L'homme le regarda d'un aire étonné.
Jarlot était confiant en sa force elle lui avait prouvé plusieurs fois dans sa vie bien chargée. Tout ce qu'il craignait c'était de voir son contact mort.

Il fut décidé -sans grande surprise- qu'un peu d'exercice ferait le plus grand bien au duo.
Les Chiens hurlants n'étant pas très futés, l'Elfe blanc prétexta une envie pressante et fit faire demi tour à son Cheval.
Au bout de cinq mètres, Brass le prévenu qu'un bandit se trouvait de chaque côté de la route, celui de droite un peu plus en avant.
Sans préambule, Avel lança son katana dans un buisson tandis que la chaîne, tendue, émit un son métallique. Des cris retentirent soudain de tout côtés, et les bandits surgirent sur la route.
Brass s'était un peu trompé. Il y en avait six devant Avel.

- Eh bien, on va danser! hurla t-il en lançant son Cheval au galop.

Les bandits ne semblèrent pas surpris de la manœuvre, les marchants la faisant régulièrement. Mais c'était tout sauf une tentative de fuite.
Lorsqu'il dépassa le premier bandit sur sa droite, ce dernier se prit la chaîne reliée au katana en pleine face. Le deuxième l'évita juste à temps, pendant que les autres comprirent que l'Elfe blanc ne visait pas l'un d'entre au, mais un tronc d'arbre.
Avel sauta de son Cheval et atterrit sur la route. Entouré du sillage de poussière de l'animal, il donna un coup sec de son bras droit.
Le katana tapa dans quelque chose -surement un bandit, étant donné les cris qui vinrent par la suite- avant de retourner dans sa main.
La poussière se dissipa très vite, et Avel vit que Nõzvel avait lui aussi commencé le combat: deux corps gisait sur le sol et cinq bandits lui faisaient face.
Il vit aussi, très vite, que même si les Chiens hurlants n'étaient pas très malins, ils étaient tout de même réactifs, car le reste de la meute se dressait sur la route. Des deux côtés, c'était du cinq contre un.
S'en rendant compte, Avel eu le sentiment que ce pouvait être leur dernier combat. Mais très vite, cette sensation fut balayés par l'excitation, et également par un pressentiment étrange, comme une idée qui commence seulement à germer... Il n'eu pas le temps d'y penser plus que ça, les Chiens lui fonçaient dessus.

Jarlot avait fait un bon bout de chemin depuis son départ de Rivebois ces alors qu'il entendait des bruits un peu plus loin.
Il accourut jusqu'au lieu voyant des personnes ce battre et de la poussière provoqué par la bagarre. Il cherchait qui se fessait attaqué par les bandits, il vit deux personne il ne les avait pas reconnue puis aperçus que c'était ces deux voleurs l'elfe et le nordique.
Au début il se dit

- il n'ont cas mourir ça leur apprendra.

Mais il n'était pas sans cœur et décida de les aider. Sont plan avait déjà prit forme il allait charger comme un bourrin en direction du Nordique et neutraliser 3 bandits ce qui devrait suffire au Nordique pour reprendre le dessus, puis faire du même du coter de l'elfe.
Il descendit de la colline à toute vitesse et ne prit même pas le temps de dégainer son hache pour charger les bandits, la première victime se prit le bras de Jarlot ce qui eu pour effet de l’éjecter contre son amie derrière lui. A ce moment il dégaina son hache et et ce dirigea vers les trois bandits encore debout, le premier ne vit pas arriver Jarlot et il en profita pour lui couper la tête il ne s'était pas fait prier.
Les deux amie du bandits n'était pas d'accord avec ce qu'il venait de ce passé. Jarlot eu le temps d'esquivé le coup du bandits et de contrer en lui coupant les bras qui tenait son espadon une fois hors d’états de nuire il s'en prit au deuxième un peu plus coriace il lui fallut trois échange de coup pour le mettre K.O d'une hache planté dans la tête. Il ce mis en direction de l'elfe, deux bandits l'attendait déjà l'un dit:

- Enflure vous vous prenez pour qui !? Et vous êtes qui déjà ?

Jarlot lui répondit:

- Il vous servira à quoi dans votre tombe ! Les deux gars qui ce trouve la vont vous tuer de toute manière.

Les deux bandits semblait être les chef. Jarlot leur sauta déçus et envoya d'un coup sec son hache dans la mâchoire du bandits de droite puis assomma l'autre. Alors qu'il allait s'occuper des trois bandits contre Avel il se sentit tomber vers l'avant comme si il s'était prit un coup.



[EDIT: Maître du Jeu]:

N'oubliez pas que votre personnage n'a un potentiel que de 2 en Force, et n'est donc normalement pas capable de tels exploits. Heureusement, le joueurs après vous à plus ou moins rectifié le tir. Par contre, le fait que votre personnage se fasse assommer et qu'il tienne aussi longtemps dans le combat montre bien son manque de Dextérité et son Endurance assez élevée.
N'oubliez pas ces paramètres. Et n'oubliez pas non plus de vous relire.
Dernière chose, le vouvoiement dans l'univers TES est TRES utilisé, surtout pour des inconnus, voir même dans une famille. Certain personnage se lient d'une amitié très forte ce qui donne donc place au tutoiement, ce qui n'est surement pas le cas entre le votre et les bandits qu'il tue.
Voila voila

Les Chevaux galopaient tranquillement sur le sentier, faisant vibrer le sol et éclater la caillasse.
Il n'y avait pas beaucoup d'Oiseaux cette fois ci -et pas beaucoup d'arbre non plus-. Il semblait par contre que la faune était plus dense, autant pour les herbivores que pour les Loups.
On arrive enfin à Blancherive, se dit Avel.
Brass était fichée au coin de sa bouche, et ils communiaient tout deux, s'envoyant des sentiments en questions et des sensations en réponses. Malgré cela, Avel restait concentré sur la discussion qu'il avait avec Nõzvel, sachant très bien comme il pouvait être irritant de ne pas être écouté.
Par ailleurs, ce dernier soupira.

- Je ne vois toujours pas pourquoi c'est moi qui devrait porter le mort.
- D'abord, enchaîna l'Elfe avec lassitude, c'est toi qu'il a le plus aidé, ensuite tu vois bien que moi j'pourrais pas guider ma monture avec lui dessus à cause de ce que ces fiente de troll m'ont fait au bras, et pour terminer, il est pas mort!
- Ouais bah il dort bien l'enfoiré. Et, aidé c'est vite dis, la moitié de ce qu'il a attaqué n'étaient même pas mort, la hache à juste mordue dans les chairs.

Avel se retourna sur sa blessure, cicatrisée grâce à un rapide sort de soin, mais instable dû au manque d'expérience d'Avel dans ce domaine, et la palpa. C'était toujours douloureux.

- Là n'est pas la question, j'pense que sans son aide on aurait surement pas été seulement égratigné, répondit il.
- Ca m'dit toujours pas pourquoi j'le porte.

L'Elfe blanc entraperçut un sourire au coin, mais décida de jouer le jeu quand même: il soupira bruyamment.
En levant le nez, il vit les rempart de Blancherive au loin.

- On arrive mon chou, je pense qu'une visite chez Hulda sera la bienvenue!