Fuite de La Brèche (Partie 1)

Le soir tombe, et Cyrica marche tranquillement sur la route principale qui relie Faillaise à Blancherive. Le nuit tombe, les environs deviennent obscurs, et elle sait qu'il va être l'heure de quitter la route pour trouver un endroit où dormir pour la nuit. Elle marche depuis déjà deux jours, et est éreintée par son voyage à la dure, chose qu'elle n'a pas vraiment l'habitude de faire. Mais comme elle risque d'être recherchée par la garde, elle juge préférable de ne pas être repérée. C'est pourquoi, même si elle marche sur la route pour aller plus vite, elle surveille sans cesse les environs pour éviter d'être vue.
Elle commence à s'éloigner de la route, surveillant le sol pour éviter de tomber, et de se faire mal. Sans encombre, elle parvient à un endroit un rien caché par quelques roches. Elle s'y installe, sort son couchage, s'installe dedans. Assise en tailleur, elle sort quelques unes de ses maigres provisions, et en mangent. Un repas frugal, juste fait pour éviter d'avoir trop faim. Un morceau de pain, et un légume. Puis elle s'allonge dans son couchage, et s'endort difficilement sur le sol dur, grelottant dans le froid de cette nuit de pleine lune.

Elle se réveille, au cours de la nuit, à cause d'un craquement inhabituel, qui se répète et qu'elle identifie comme un pas.. Elle se lève en vitesse, et récupère son bâton, puis elle demande : « Qui est là ?! »

Pas de réponse, elle ne voit -se découpant par rapport au ciel- en face d’elle qu’une silhouette à l'allure humanoïde.

[Voilà, mon rp est fini, et attend une réponse.]

Jarlot était arrivé à faillaise au petit matin, décidé à trouver de la vrai skooma pas cette boisson misérable qu'il créait avec son petit laboratoire dans sa grotte miteuse. Il eut vent d'une vendeuse de skooma se trouvent à faillaise et était bien décidé à la trouver. Il partie en direction de la guilde des voleur surveillant les alentour de peur d'être suivit par les garde. Quelqu'un l'aborda, Jarlot effrayé sursauta, l'homme avait un capuchon sur la tête il ne put apercevoir son visage. L'homme lui lança :

-Que chercher vous ? Je vous voient épier !

-Mais qui êtes vous d'abord ?

-Je suis peut être bien la personne que vous chercher.

-Vous savez peut être qu'une vendeuse de skooma ce trouve dans la ville ?, lança il d'un regard méchant comme pour faire partir la personne,

-Vous êtes un homme du Jarl, non un assassin ou un mercenaire oui un mercenaire ces cela... je sais ou ce trouve cette femme, elle n'est plus là, Puis l'homme ce tue.

Jarlot comprit qu'il demandait de l'argent, Il sortie sa bourse puis lui donna quelque pièce. L'homme retrouva la parole et lui expliqua qu'elle était partie depuis un petit moment lui montrant le chemin à suivre puis repartie comme si de rien n'était. Il avait besoin de skooma, il ne savait pas combien de temps il allait tenir sans et se mis à sa recherche.
La nuit était tomber et Jarlot prit par la fatigue quitta la route pour allez dormir. Il avait repérée qu'elle que rocher le cachant des voleur et toute autres personnes. Mais la voient d'une femme résonna de derrière ces rocher :

-Qui est là ?! ... , la femme reprit ne voyant pas de réponse. Qui est là … montrer vous je suis armer !

-Je suis juste un voyageur, dit Jarlot. Je suis fatiguer et n'est pas envie de me battre, je cherche juste un endroit ou dormir.

Felagund prépara son sac, et ses armes afin de partir à la recherche de cette femme qui lui avait revendu ce sucre-lune de faussaire.
Il salua sa patronne et de dépêcha de partir de la ville. Il mit le cap vers Faillaise, d'où il commencera ses recherches. Il s'arrêta à l'écurie en bas de la ville puis loua un cheval au propriétaire qu'il connaissait plutôt bien.
Il ne lui fallu que trois jours et une deux à cheval pour rejoindre Faillaise. Une fois arrivé, le soir il se mit d'abord à la recherche du nordique qui l'avait mis en relation avec cette femme, sans résultat.
Il décida alors de se mettre en relation avec la guilde des voleurs, même si il était réticent à l'idée de les rencontrer.

*Dans une ruelle sombre *
- Vous avez fais appel à nos services elfe?

Le ton employé était celui d'un homme qui respirait la fourberie

-En effet, je sais que cela ne fait pas partie de vos activités en temps normal, mais je suis à la recherche d'une voleuse, celle-ci m'a revendu de mauvais ingrédients pour une potion, puis elle à quitté la ville. Je sais que vous voyez de qui je parle, je suis prêts à vous payer

Ajoutant le geste aux paroles, l'elfe noir sorti de son sac une petite bourse remplie de pièces d'or.
L'homme pris la bourse avec un grand sourire édenté

-En effet, cette jeune femme est partie, il n'y pas si longtemps, nos petits oiseaux l'ont vu partir en direction de Blancherive

-Impossible, je viens moi-même de Blancherive, et j'ai voyagé de jours comme de nuit

-Alors vous l'avez manqué de peu

Sur cette nouvelle, Felagund quitta la ville avec son cheval afin de retrouver cette femme, mais la recherche se transforme alors en partie de chasse...

Un autre voyageur? En pleine nuit, comme ça? Non, elle n'y croit pas. Soit un homme du jarl... Quoique son aspect lui indique plutôt le contraire. Soit un bandit, ce qui serait bien plus logique. Et pourtant, malgré son envie et ses craintes, elle ne peut pas vraiment s'enfuir en courant, car en dépit de la lumière projetée par la pleine Lune, elle n'a pas l'habitude de faire des randonnées, et encore moins nocturnes, en dehors de la ville. Qui plus est, ce n'est déjà pas très prudent de s'arrêter comme ça pour la nuit, même non loin de la route; s'enfuir en courant ne ferait que la faire repérer par d'éventuelles bestioles, et paraître louche aux yeux de l'inconnu. Lui sauter dessus avec sa dague n'est pas non plus envisageable. Essayer de s'enfuir de Faillaise pour tuer quelqu'un avant d'avoir quitté la châtellerie est une idée qu'elle juge stupide. D'autant plus que l'homme en face d'elle a l'air assez costaud. Il la maîtriserait sûrement sans problème. Et ce serait elle qui se retrouverait avec une épée en travers du ventre.
Elle raffermit donc sa prise sur son bâton, le regarde, et lui répond:

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« Très bien... Vous pouvez dormir là...»

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Elle se rassied, et le regarde avec suspicion, son bâton bien en main, pointé sur l'homme. Au moindre geste un peu trop suspect, un mot de commande et il se retrouvera calmé.

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« ... Mais faites bien attention à vous. Je vous ai à l'oeil... N'essayez rien avec moi, ou je vous réduirai en poussière avec ce bâton... Avant d'utiliser votre âme pour quelques desseins...»

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Auprès des non initiés, ces petits coups de bluff fonctionnent généralement. Et en plus de guetter les gestes de l'homme, elle se mit à guetter sa réaction, et la crainte qui devrait se lire dans ses yeux.

Une fois repartit de Faillaise, Felagund fulminait de rage, cette s'était joué de lui et avait failli le faire découvrir par les autorités de Blancherive.
Il maudissait son incapacité à totalement contrôler ses transformations, car le flaire de la bête lui aurait été bien utile, il pouvait se transformer, mais ne contrôlait aucunement la bête. De plus il ne savait aucunement où elle pouvait se trouvait entre Faillaise et Blancherive, elle pouvait aussi bien se trouver dans les petit bois que dans les montagnes. Il reprit alors ses recherches et décida de se reposer seulement seulement deux heures par nuit pour accélérer ses recherches.
Durant ses recherches il préféra marcher plutôt que de monter son cheval pour l'épargner un peu et éviter de manquer des traces qui pourrait le conduire à cette femme. Il bivouaqua près des cours d'eau, et à deux reprises il s'était fait attaquer par des vasards, l'un d'eux avait même réussi à lui entailler l'épaule, ce ne fut pas trop grave, mais si il compter se servir d'un arc pour chasser, il pouvait oublier tout de suite, il ne se nourrissait plus que de racines et de plantes qu'il ramassait durant ses marches en forêt. Les cueillettes étaient maigres, mais elles suffisaient à le sustenter. Pendant ses marches nocturnes il scrutait l'obscurité à la recherche d'une faible lueur de feu de camp qui aurait pu être celui de sa voleuse.
Mais au bout de cinq jours de recherches, il était toujours bredouille, et Blancherive n'était toujours pas en vue...

Le rougegarde ne tenta rien de fâcheux contre elle, et Cyrica finit par s’endormir, vaincue par la fatigue. Elle se réveilla à plusieurs reprises dans la nuit, et se réveilla en sursaut au petit matin par un oiseau chantant non loin de sa cachette. Elle regarda autour d’elle. Le rougegarde avait l’air de s’être éclipsé. Elle en profita pour sortir une de ses fioles de skooma, et la but. Ce n’est qu’à ce moment là qu’elle entendit les bruits de pas. Le rougegarde était de retour, et il l’avait vue. Il la regardait avec envie. Il devait être en manque de skooma, et si l’envie lui prenait de lui en voler, elle ne pourrait pas faire grand-chose.

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« Vous avez du skooma ? Peut-être êtes- vous celle que je cherchais à Faillaise.

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_ Ca dépend, si vous cherchiez une vendeuse, vous êtes arrivés trop tard, je n’en ai plus beaucoup, et je le garde pour moi… A moins que… Je vous propose un marché. Je partage ma réserve avec vous, et vous m’escortez jusqu’à Blancherive. Nous serons tous les deux gagnants. Vous aurez votre skooma, j’aurai quitté cette châtellerie, et probablement sans encombre, vu votre carrure. Ca vous va ?

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_ Je pourrai aussi prendre le skooma que vous avez.

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_ N’oubliez pas que je suis une mage puissante », dit-elle en brandissant son bâton sans trop y croire. « Et qu’y gagneriez-vous, après tout ? Alors que si vous m’aidez à arriver là-bas, si j’ai l’occasion, je vous ferai un bon rabais voire des fioles gratuites de skooma si j’ai l’occasion !

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« Je ne suis pas sûr que vous ayez de quoi m’inquiéter vraiment avec votre bâton. Mais soit, j’accepte votre proposition, mais donnez-moi une fiole maintenant ! Après tout, vous avez l'air d'avoir vraiment besoin de moi... »

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Cyrica en sortit une à contrecœur et la lui tendit. Il l’avala d’une traite. Il était bien meilleur que celui qu’il avait l’habitude d’ingurgiter, aussi l’effet fut-il plus intense que d'ordinaire..

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« D’ailleurs, pourquoi étiez-vous parti ce matin ?

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_ J’ai chassé, j’ai réussi à avoir un lapin, si vous en voulez.

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_ Il faudrait le cuire. Faire un feu n’est pas une excellente idée je pense.

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_ Je prends le risque ! » dit-il en allumant un feu, et préparant le lapin.

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Pour la première fois depuis son départ, Cyrica mangea chaud, et bien, après quoi ils s’en allèrent, quittant leur cachette, reprenant la route en direction de Blancherive. Jusqu’à ce que quelqu’un lui crie : « Eh, vous ! »

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Cyrica et Jarlot se retournèrent, et elle reconnut le dunmer qu’elle avait arnaqué.